Au Gré des Vents

Au gré des Vents, des Vents stellaires
Atomes éclos et dispersés, hasard de feu disséminé.
Distances de vide et de lumières, confiance et joie faites au temps.
Aux des espoirs se font latents, les mondes dansent et sont créés.
Esprits vidés puis fusionnés, se naissent et meurent les sociétés.
Matière poussière désintégrée, se perd encore, comme effacée.
Respire et naît, se laisse aller.
Au gré des Vents, des Vents stellaires.

Les parties sont recomposées, aux rythmes mille et millénaires.
Eclosent et vivent les entités, tourbillons longs et incessants.
Au bal des jeux, des innocents, souvenirs vieux sont effacés.
Illusions crues restituées, feu d’artifices à oublier.
Matière toujours reformatée, là-bas, au loin, vers les lumières.
A l’ombre d’elles, tournent les Terres.
Enfants perdus, redirigés, sans but, sans sens, sans destinée.
Un pas infime, vers la Lumière.
Au gré des Vents, des Vents stellaires

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